Texte RP Digdragon

Qui je suis ? Bien des gens vous diraient que je suis un fou ! Ils vous diraient que je suis quelqu’un de dangereux et que je parle souvent seul et c’est vrai je parle seul aux yeux de tous mais en fait je parle lui !

Oui car je ne suis pas seul ou plutôt je ne suis plus seul ! Où que j’aille je suis toujours accompagné mais laissez moi vous expliquez alors vous comprendrez pourquoi l’on me craint tant.

Etant enfant je vécu des jours heureux avec mon père et ma mère du moins du peu que je m’en rappelle mais hélas nous étions pauvre et mon père était gravement malade. Mon père ne pouvant travaillé à cause de cette maladie et ma mère ne gagnant qu’un maigre salaire, ils décidèrent de m’abandonné dans une forêt non loin d’une grande bâtisse espérant que je sois recueilli.

Et ce fût le cas, le propriétaire du manoir m’adopta mais ce n’était pas pour m’éduquer comme les autres enfants, les premiers jours il était bon avec moi, je me rendis compte plus tard que c’était pour gagné ma confiance, mais au bout de 2 semaines il devint plus méchants et me battait, je ressens encore ses coups de fouets sur mon dos et le froid des barreaux qui composait la cage dans laquelle j’étais enfermé chaque jours

Quelques années plus tard, il vînt me cherché dans ma cage :

- Sort !!
- Bien maître.
- C’est le grand jour pour toi soit heureux !
- Pourquoi devrais je être heureux ?
- Tu vas avoir ton premier homme, maintenant suis moi au jardin.

Je le suivis et une fois arrivé au jardin qui par cette matinée d’automne ressemblait plus à un cimetière tant le brouillard était épais, je vis une dizaine d’homme et l’un d’eux portait un masque de cuir dont on ne pouvait distingué que les yeux injecté de sang.

Une fois approché à 10 mètres du groupe un homme habillé de fort belle manière lança :

- En effet c’est une belle bête que vous avez là !
- Je vous l’avais dit et je suis prêt à vous pariez 1500 pièce d’or qu’il va remporté le combat
- *Ce n’est pas pour me vanter mais je crains qu’il n’ai peu de chance, c’est sa première fois vous l’avez dit alors que mon homme en est déjà à son 8ème combat*
- Certes mais j’ai une grande confiance en ma technique d’ « éducation ».
- Soit alors messieurs « remontez », si je puis dire, les hommes, choisissez les armes et que le combat commence.

C’est alors que je vis un petit homme barbu s’approché de moi avec une seringue et un autre s’approchait de l’homme à la cagoule.

- Ne t’inquiète pas tu auras un peu mal au début mais après tu ne sentiras plus la douleur.
- Qu’est ce maître ?
- Tu as entendu non ? Un remontant.
- *Je ferais vite* et l’homme barbu enfonça la seringue dan mon bras, je pu sentir la douleur mais je me retins car il ne fallait pas que je fasse honte à mon maître.
- *Voilà c’est fait !*
- Bien cher ami, maintenant que nos combattants ont reçu la dose quelle armes allons nous choisir ?
- *Je vous propose de choisir vous-même car ce jeune homme n’a aucune expérience, je m’en voudrais si l’on disait que j’ai profité de l’inexpérience de notre ami pour gagné notre pari*
- Soit alors je choisi … les épées !!
- *Bien les armes sont choisies, que le combat commence. Combattants allez y !!*

C’est alors que j’eu une drôle de sensation,

- Maître que m’avez-vous fait ?!
- Ne pose pas de questions et tue ton adversaire !!!

Je vis la lame de mon adversaire me frôlé le visage, j’avais compris que si je voulais vivre il me fallait le tué, c’était lui ou moi.

Alors je couru vers lui et le projeta 5 mètre en arrière mais alors que l’homme en cagoule tomba je sentais en moi une poussé de fureur et de rage.

- Je vais te tué, t’écrasé, te broyé !!

Alors d’un bond je sauta sur mon adversaire à terre et lui enfonça l’épée dans son ventre et je pu clairement entendre son dernier râle.
Mais qu’avais-je fais ?

-‘ J’ai pris une vie ! Mais que m’arrive t’il je l’ai tué !! Non je me suis défendu, je l’ai tué parce que si je ne l’avais pas fait ce serait moi là au sol. Oui, c’est ça la vraie raison’

- Bien on peut voir en effet que les méthodes d’éducation de Mr Black sont très efficaces !
- *Bien vous avez gagné, je vous dois 1500 pièce d’or*
- Et bien je vous propose de signé mon chèque au chaud à l’intérieur, ne vous inquiétez pas pour cette dépouille, mes hommes vont se chargé de la faire disparaître. Entrez, moi je vais ramené notre ami à sa cage et je vous rejoint après dans le salon.

J’avais eu mon premier homme et ce ne serait pas le dernier, durant des années chaque semaine je me battais contre 1,2 ou plusieurs adversaire, tantôt au manoir, tantôt ailleurs où j’étais transporté poings et pieds enchaînés dans une calèche noir. Il m’arrivait quelques fois de combattre avec des alliés mais une fois nos ennemis communs à terre je les tuais suite aux crises de folies que provoquaient les piqûres.

Mais je commis une grave erreur, après avoir combattu un géant de plus de 2 mètres je ne me retînt plus et je mis à massacré les spectateurs avec la Morgenstern que j’avais en main,, je fracassai les têtes, rompit les nuques et fit coulé le sang dans un flot continu.
Il fallu la force de 15 hommes pour me mettre à bats et me calmé mais dans ma folie je perdis un œil qui me fût arraché par un homme de mains, pour me vengé j’attrapa son visage à 2 mains et sous la pression je fis craqué sa boîte crânienne.
Une fois mis à terre on m’emmena dans ma cage d’où je ne sortis plus pendant des journées entières. Après bien des lunes, mon maître vînt me voir mais il était accompagné, dans les escaliers sombres qui menaient au donjon dans lequel je me trouvait , je pu entendre leurs paroles :

- …. je vous l’avait dit que l’usage de trop forte dose de votre produit aurait de graves conséquences !!
- Cessez cela voulez-vous ?!
- Bon sang vous ne comprenez pas ?! Lord Siegfried a une mâchoire qui ne tient plus que par un fil !! Lord Pavel a eu la boîte crânienne mise en pièce et je ne vous parle pas du choc psychologique qu’a eu votre combattants sur les autres spectateurs !! Même la nuit je le vois dans mes cauchemars me chargeant avec le sang sur son corps et j’entends encore ses cris !!
- Assez je vous prie !! J’étais là moi aussi et pour la dernière fois je ne l’abattrais pas !! Il est un combattant exceptionnel, on peut abattre un cheval parce qu’il ne pourra plus courir mais on abats pas un combattant parce qu’il a tué des parieurs dans un accès de folie !! Non, je préfère utilisé la méthode du professeur Elron !!
- Mais vous savez bien que cette opération n’en est qu’au stade expérimentale, de plus il pourrait être réduit à l’état de légumes ou pire devenir fou a lié pour toujours et attaqué encore des parieurs !!
- Je vous dit qu’on le trépanera puis on lui enlèvera cette fameuse tumeur au cerveau provoqué par mon produit !!
- Soit ! C’est votre combattant mais je tiens à vous dire que je ne l’accueillerai plus jamais à mon château, je ne veux pas que d’autres parieurs meurent chez moi !! Cela ferait mauvaise impression dans la haute société.
- Comme vous voudrez.

Tout les deux entrèrent dans le donjon, mon maître s’approcha de moi, il tenait un panier rempli de nourritures et un autre avec divers bandages, médicaments et autres tandis que son ami resta au pied des escaliers comme pétrifié par ma simple vue.

- Je t’apporte à mangé et je vais en profité pour te soigné et changé ton bandage à l’œil.
- Merci maître, pardonnez moi pour ce que j’ai fais.
- Tu es tout pardonné, c’est de ma faute je n’ai pas fait assez attention à toi.
- Merci maître.

Et le maître me soigna du mieux qu’il pouvait et il me retira le bandage à l’œil.
- Pensez vous que le professeur Elron pourra lui greffé un œil.
- Je ne crois pas lorsque l’on a trouvé son œil il était déjà en état de décomposition, de plus, ses vaisseaux sanguins ont été arrachés, le professeur ne pourra pas les raccordés à un autre œil. Il sera borgne jusqu’à la fin de sa vie.
- Mhhh, j’espère qu’il pourra toujours se battre aussi bien qu’avant.
Puis mon maître partit avec son ami, me laissant seul avec ma solitude et un panier de nourriture.

Le lendemain on vint me cherché et encore une fois je fût conduis poings et pied enchaînés dans la calèche vers le laboratoire du professeur. Après 3 heures d’opération mon corps endormi fût ramené au manoir et j’y fût enfermé à nouveau dans ma cage.

Le soir même un garde vînt dans mon donjon pour éteindre les torches car il était l’heure de se reposer.

-*Saleté !! Tu as de la chance que messire Black veuille te garder en vie ! Si j’avais été au jardin ce jour là je t’aurais tué de suite !!*

Puis il remonta et moi je tentai de dormir dans cette cage au sol si froid. Le sommeil me vint rapidement et je me sentais léger quand j’entendis une voix :

- LEVE TOI !!
- Qui a parlé ? Maître où êtes vous ?
- SILENCE PAUVRE IDIOT !!
- Qui es tu ?
- Je suis toi, imbécile !! A ton avis qui aurait tué tout ses parieurs ? C’est moi et je t’ai ordonné de le faire.

Je fut pris de terreur, qu’elle était cette chose en moi ? Est-ce que je délirais et d’où venait cette voix ?

- Non tu ne délires pas, je suis là au fond de ta petite cervelle !! Je suis toi et tu es moi ! Nous ne formons qu’un. Ils n’ont pas réussi à m’extraire entièrement. J’en ai assez d’être dans cette cage et au service de ce vieux con !! Tu vas t’échappé !!
- Non je ne veux pas, je ne peux pas, le maître me battra !!
- Tu peux détruire ton maître rien qu’en lui broyant les os. De toute façon je ne te laisse pas le choix.

Soudainement je me leva et j’écarta les barreaux de ma cage puis j’en sortis.

- Vois ce que je peux faire, pour moi tu n’es qu’un tas de viande que je contrôle.
- ‘Assez, que vas-tu faire ?’
- Je vais te libérer de ta servitude à tout jamais.

C’est alors que tout s’engrangea et s’enchaîna très vite : je monta les escaliers où je vis 2 gardes complètement ivres. Je m’approcha d’eux dans le dos en silence, je brisa la nuque du premier quand au second je pris la bouteille de ses mains et la brisa sur sa tête et planta le morceau qu’il me restait dans son cœur ce qui eut pour effet de faire sortir son sang par le goulot de la bouteille plantée dans sa chair.

- L’abus d’alcool est dangereux pour la santé l’ami ! Gniark gniark gniark !!

Puis je vis une dizaine de gardes sortirent de la pièce au fond du couloir :

-* Attrapez le, il faut le tuez !!*
- Venez mes mignons, venez à votre mort !!

Je pris une épée sur l’un des cadavres et commença une véritable boucherie sans nom, après avoir tués la dizaine de gardes qui formaient la protection de mon maître je découpa les oreilles de mes victimes et les enfilèrent sur une corde trouvée dans la salle des gardes.

- Maintenant au tour du vieux !!
- ‘Arrête cette folie !!’
- TAIS TOI !! Maintenant nous allons tué ton maître puis nous partirons loin très loin, j’ai entendu parlé d’une bande de démons qui se regroupaient afin de détruire les humains.
- ‘Comment as-tu pu entendre cela ?’
- Toi tu n’y faisais pas attention car tu combattais mais moi je l’ai entendu, 2 hommes en parlaient et apparemment ils en étaient effrayé ! Oui j’étais là alors que tu te battais, en fait je suis là depuis que tu as eu ton premier homme, tu m’as créé durant ton sommeil afin de justifier tes actes mais maintenant j’ai tous les moyens d’exister et de te mettre au silence.
- ‘Non je dois t’en empêcher’
- Il est trop tard car au plus profond de toi, tu veux le tuer, je le sais !! Je connais tous tes désirs cachés.

Je ne répondis rien car j’étais sous le choc de la révélation, oui c’est vrai au fond de moi-même je voulais tué le maître, en fait je voulais tué tout les hommes car jamais ils ne m’ont aidés, je haïssais l’humanité car personnes n’est venu me cherché dans ma cage pour m’en faire sortir et me faire découvrir l’autre face du monde. Depuis le début je n’ai connu que le fouet, la cage et depuis quelques années le sang et le carnage.
Je marchais dans les couloirs, ouvrant toutes les portes afin de trouver mon maître pour le tuer. Après quelques minutes je le trouva sa chambre.

- Bonsoir maître !
- *Qui est ce ? Toi ! Que fais tu ici comment t’es tu échappée ?
- SILENCE VIEL HOMME !! AVANT DE TE TUE JE VAIS TE FAIRE SOUFFRIR A PETIT FEU !!
J’attrapa aisément mon maître et l’attacha à une chaise alors qu’il appelait ses hommes à l’aide.
- Je me suis chargé d’eux, ils t’attendent dans l’au-delà.- *Arrête !! Ne fais pas cela, c’est moi qui t’ai éduqué, je t’ai accueilli, je t’ai nourris et soigné.*
- VOUS M AVEZ BATTU ET FORCE A TUE, MAINTENANT J Y AI PRIS GOUT ET J AI DECIDE DE VOUS EN REMERCIER EN VOUS MONTRANT CE QUE JE SUIS DEVENU !!
- *Tu n’es pas toi-même.*
- En effet, je ne suis plus moi-même grâce à votre produit, vous avez voulu m’éliminer mais j’ai survécu.

Je me mis à découpé les oreilles de mon maître, encore vivant, et les enfilèrent à côté des autres. Puis je lui coupa les doigts et le nez, je le taillada à divers endroits et lui coupa tout ses membres que je jeta dans la pièce en hurlant des cris de joies.

- Regarde toi dans ce miroir !
Alors je vis mon visage, je souriais et le sang de mon maître se trouvait partout dessus.

- Dorénavant ce sera ton visage !! Tu iras voir les Royal*Vengeance et tu feras tout pour être parmi eux. Les humains payeront pour leurs cruautés. Tu dalleras ton chemin des os de tes victimes que tu joindras avec leurs sangs. Tu serviras leur dieu qui sera aussi ton dieu, Démonio !!
- ‘Bien.’
- Je te laisserai réapparaître de temps en temps si tu fais e que je te dis mais garde bien cela en mémoire, grâce à moi tu es libre et sache que jamais tu ne pourras me vaincre, est ce clair ?
- Oui.

Alors je pu reprendre le contrôle de mon corps et je partis sur la route vers mon destin et comme « il » a dit, je tuais ceux qui croisaient mon chemin et je laissa derrière moi ma cage et mon maître afin de détruire l’humanité.

Raoul se leva tôt ce matin comme tout les matins, il était pêcheur sur l’île d’Hanod. Il lui fallait allez taquiné le poisson très vite car ce n’est que lorsque le soleil est à peine levé que la poiscaille nageait en surface. Après un petit déjeuner assez maigre il faut le dire, du pain et un peu de fromage avec du lait de vache, le courageux pêcheur s’en alla en laissant femme et enfants dans la cabane, dormant paisiblement du sommeil des innocents.

Une fois arrivé au port, le marin salua ses compères, tous des pêcheurs aux muscles endurcis par des années de labeurs à tirer les filets, rempli de poissons, de l’eau. Ils embarquèrent sur le bateau à 2 mâts et se mirent en route.

- Voilà nous y sommes ! JETEZ LES FILETS A LA MER !

- BIEN CAPITAINE !

- Nous allons parcourir 5 km au sud puis nous recommencerons.

- Bien capitaine ! CAP AU SUUUD !

- Il fait encore noir et cette purée de poix est très ennuyante. Que les hommes ne parlent pas tant que le brouillard ne c’est pas dissipé.

- LE CAPITAINE ORDONNE DE FAIRE LE MOINS DE BRUITS POSSIBLE TANT QUE LE BROUILLARD NE S’EST PAS DISPERSE !

- ET TOI AUSSI ARRETE DE GUEULE COMME CA BASHI BOUZOUK !

- Pardon Cap’taine !

- J’aime mieux ça.


1 heure plus tard.

- Bien remontez les filets !

- Remontez les filets !

Les hommes se mirent au travail et se donnèrent du courage en criant « Ho hisse » mais un bruit se fit entendre.

- TAISEZ VOUS !

- Qu’est ce que c’est capitaine ?

- Le bruit de flots, ce n’est pas normal. Nous sommes en pleine mers et c’est comme ci …

Mais il fût interrompu, du brouillard sortit une énorme masse noire qui était au moins 10 fois plus grande que la frêle coquille de noix où se trouvaient les pêcheurs.

- CA CA CAPITAINE REGARDEZ LA HAUT, LE DRAPEAU NOIR ! C EST UN VAISSEAU PIRATE HAAA

- TOUS A LA MER IL NOUS FONCE DROIT DESSUS !!

Les pêcheurs se jetèrent à la mer en abandonnèrent le bateau, certains étaient paralysé par la peur et ne pouvaient pas bougés. Rapidement le frêle bateau se colla au vaisseau et se fit coupé en 2, le vaisseau continua sa route abandonnant ses victimes aux créatures de la mer.

Sur le vaisseau noir se trouvaient ceux que le roi qualifiait de rats des mers, les détrousseurs des océans, le capitaine se trouvait à la proue de son navire et fût rejoins par un homme portant une cape et une hache à son dos.
- Qu’est ce que c’était Triple pattes ?

- Rien général, une cacahuète de bois transportant des pêcheurs malchanceux.

- Très bien. Combien de temps vais-je devoir encore attendre avant de posé pieds sur Jaleco ?

- Je ne peux pas vous dire, nous irions plus vite si le vent nous poussait…

Le capitaine fût interrompu, un vent de forte intensité et d’un froid glacial se mit à soufflé.

- Pal sembleu, il suffisait de demander !
- Comme vous dites capitaine, comme vous dites.

Un homme tomba sur le sol crasseux, il était mort.

- Milliard ce vent souffle si fort que ma vigie en est tombé de son perchoir.
ALLEZ HISSEZ LES VOILES ET QUE QUELQU UN ME JETTE CE SAC A VINASSE AUX REQUINS CA SALIT MON PLANCHER !

Les voiles furent hissées et le mort jeté à la mer sans autre cérémonie qu’un simple « Adieu ».

- Que Démonio le garde de la bonté des anges.

Vigie : TERRE TERRE !

Triple pattes : Par la barbe de Démonio vous voilà arrivé à destination général !

Digdragon : Bien Triple pattes. Préparé moi une chaloupe, le jour se lève à peine, je préfère resté discret. Une fois dans la chaloupe vous pourrez partir où bon vous semblera, je me débrouillerai pour mon retour. Voici la somme promise.

L’encapé sortit de son sac une bourse remplie de pièces d’or.

Digdragon : Une fois en mer, ne dites à personne que vous aviez un passager, encore moins aux royalistes. Cette trahison vous en couterais la tête et par la même occasion les oreilles !

Le capitaine déglutit en entendant ces dernières paroles et donna l’ordre de mettre une chaloupe à la mer. Le passager prit sa hache et son sac et les mit dans la chaloupe et s’y asseye. Une fois la chaloupe à la mer celui qui était appelé « Général » par Triple pattes se mit à ramer avec frénésie quant au capitaine il donna l’ordre d’hisser la grande voile et le bateau fit demi tour pour disparaître à l’horizon.

Le Général arriva dans une petite crique proche du port, il mit pieds à terre son sac à la main et sa hache accroché au dos. Il ne prit même pas la peine d’amené son embarcation sur la plage et celle-ci se mit à dérivé.
Si je me souviens bien celui que je cherche se trouve au nord d’ici mais cela risque de prendre du temps à pieds ! Il me faut un cheval.

C’est alors qu’il pensa : ‘Là où il y a des ports, il y a des villes et donc des cavaliers, je dois allez à cette ville. Il faut que je me dépêche le soleil se lève et je n’ai pas envie de sentir ses rayons, cela m’agace beaucoup.

L’homme en noir se mit en route et lorsqu’il arriva en ville il y trouva ce qu’il cherchait, le cheval était attaché à la poutre d’un magasin qui semblait ouvert. Sans gêne le démon monta sur le cheval massif qui portait déjà des filets et 2 fontes.

‘Sans doute un cheval de pêcheur, ce sont les plus résistant à l’effort … tant mieux car je ne compte pas m’arrêter’

Les pensées du cavalier furent interrompues par un cri ressemblant à « VOLEUR !! ». Du magasin un homme assez large du ventre était sortis le poing levé en l’air comme ci il tenait une arme en mains. Il fit tombé l’homme en cape et se mit à l’insulté et à lui mettre des coups de pieds. Facilement l’homme en cape le saisit à la cheville et le projeta contre le mur du magasin, il se redressa de toute sa taille, son ombre s’étendant sur le pêcheur.
Celui-ci disait d’une voix tremblante que sa cheville était cassée mais cela n’arrêta pas son bourreau. Ce dernier sortit sa hache de son dos et la tenais d’une main et avec l’autre il alla saisir l’homme écroulé au sol par les cheveux. Il le tira dans la rue et le fit s’écroulé au sol ventre à terre. Il brandit sa hache et décapita le vieillard, après quoi il prit la tête et l’attacha aux filets de pêches sur le cheval qu’il remonta après.

C’est dans une aube rouge que celui-ci partait à grands galops dans les champs pour arrivé dans une forêt où le soleil ne perçait que timidement la cime des arbres.

‘J’aurais préféré être plus discret mais qu’importe, mon visage n’est pas connu ici’

Chapitre 4: Fin

2 orks montent la garde devant une imposante tout ce situant à l’orée d’une forêt.

Djossen Kass’Dal: Bordel quand est ce qu’on mange, j’ai faim !?

Tomar Tête de piques : Faut attendre la relève crétin, si le seigneur Rokdar nous a engagé c’est bien pour surveillé.

Djossen Kass’Dal : Y’a rien a surveillé ici, personne n’ose traversé la forêt et en plus on a plus rien a bouffé.
Hmmm ??? Une araignée ce sera déjà ça.

L’ork s’abaissa et referma sa main couleur verte crasseuse sur le pauvre arachnide et l’engouffra dans sa gueule.

Tomar Tête de piques : Grumph c’est « Bouff’tout » qu’il aurait fallu t’appelé.

Djossen Kass’Dal : Je t’em***** j’ai faim moi !

Tomar Tête de piques : C’est moi qui t’em***** espèce de rats de Morghull !

Djossen Kass’Dal : Viens là chien de Masgroth !

Et les 2 créatures se mirent en tête de se décapiter l’une et l’autre, comme tout les orks quoi.

Tomar tenait la jambe de Djossen dans sa gueule et essaya de dire quelque chose.

Djossen Kass’Dal : Quoi ? Qu’est qu’il y a sale c****** ?

Tomar Tête de piques recrachant la jambe : Ptou ! Y’a un type sur un dada qui s’approche.

Djossen Kass’Dal : Comment ?

Djossen se mit à regardé dans la direction de la lisière et vit un homme portant une longue cape noir, sans capuchon, portant une longue barbe s’approché sur un cheval qui semblait au abord de la mort. Brusquement le cheval tomba et son cavalier avec, Djossen et Tomar accoururent lances en mains et demandèrent au cavalier :

Djossen et Tomar : T’es qui toi ?

Cavalier : Digdragon, général de la Royale*Vengeance, je suis venu voir Rokdar le sorcier, j’aurai besoin de son aide.

Djossen : On ne laisse pas passer, on a rien bouffé à part une araignée et dans 1 heure seulement on nous relèvera.

Tomar : Ouais.

Digdragon : mon cheval est au bord de la mort, faites en ce que vous voulez … Djossen s’approcha du cheval avec une dague en main …. Mais je tiens à entrer.

Tomar et Djossen : Ok Rokdar est en haut de la tour vous prenez l’escalier et c’est la 2ème porte à droite vous trompez pas, la première c’est le placard à balais !

Digdragon : ………

Digdragon entra dans la tour et pris l’escalier et fit bien attention de ne pas prendre la porte du placard et se placa devant la 2ème porte à droite. Une croix à 8 branches se trouvait dessinée dessus, il frappa à la porte, qui s’ouvrit d’elle-même.
Il entra dans une pièce sombre légèrement éclairée par quelques bougies, ça et là se trouvait divers fioles, bocaux renfermant ce qui ressemblait à des entrailles, des livres écrit en runique tabou étaient ouvert sur les tables et du sang s’écoulait d’une « vierge de fer au fond de la pièce se trouvait un trône où se trouvait u homme portant des sigles interdits sur le visages, taillé à même la chair.
Digdragon : J’ai quitté mon continent pour ….

Il fût interrompu.

Rokdar : Je sais qui vous êtes. Je sais aussi ce que vus venez faire ici et le but de votre visite mais je ne peux vous donnez ce que vous cherchez, le pouvoir de vous défendre contre la magie de vos ennemis, cela je ne peux vous l’apprendre ou vous le donnez. Vous n’êtes que la mauvaise partie de Digdragon, celui a qui reviens ce corps de droit était faible d’esprit et vous a créez, par après vous avez demandé à votre dieu de détruire le faible en vous. Je le sais, je l’ai lu dans les runes.
Vous n’êtes pas le Digdragon qui est nés mais vous possédez son corps et donc sa puissance tant physique, qu’ésotérique.

Digdragon resta bouche bée devant toutes ses révélations, son histoire avec le baron, il n’en avait jamais parlé et encore moins la période durant laquelle deux Digdragon habitaient le même corps.

Digdragon : Alors vous devez être un puissant sorcier pour savoir tout cela, la rumeur ne mentait pas.

Rokdar : Je n’aime guère être connu, cela attire des ennuis. Mais revenons en à nos blob voulez vous ? Vous êtes venu pour le pouvoir et clairement je ne peux vous aidez à en acquérir sauf ceci :

Le sorcier prit un livre et le tendit à Digdragon, ouvert sur une page intitulée : « Kjarl La Hache »

Digdragon : Que voulez vous dire ?

Rokdar : C’est votre père, du moins celui qui a permis la naissance de votre corps. Il est mort des suites d’une campagne qui a eue lieu il y a des années. J’étais, et je le suis toujous, sorcier et prêtre de Nääm, le dieu des crânes. J’ai servi Kjarl et l’ai vu mourir aussi à une bataille sanglante qui restera dans les mémoires de ces contrées à tout jamais.
Avant de mourir il m’a voué avoir fait un enfant et je sens bien en vous l’odeur de son sang bouillonant de haine comme le vôtre. Kjarl était déjà un barbare adoré de ses troupes et d’une grande force physique, ce qui était déjà hors du commun mais c’était sans compté son pouvoir, celui que Nääm lui a insufflé. Et vous possédez aussi ce pouvoir en étant son fils.

Digdragon ne savait que dire, non pas parce qu’il avait découvert le géniteur de son corps mais bien parce qu’il avait un pouvoir dont il ne soupconnait même pas l’existence.

Rokdar : Je ne vais pas vous faire plus languir, vous avez le don de métamorphose. Mais attention pas n’importe quelles métamorphoses, elles sont trois au total.
La première vous permet de devenir un loup, la seconde est un ours et la dernière est un corbeau. Mais il y a un bémol, chaques transformations vous permet de devenir une de ces créatures mais vous serez reconnaissable car votre pelage et plumage est de couleur noir et de plus étant borgne sous forme humaine, vous le serez aussi en animal, cela rendra la tâche plus facile pour permettre à vos ennemis de vous reconnaître.

Digdragon : Comment je peux me servir de ce pouvoir ? Comment puis je le déclenché ? Comment …

Rokdar : Cessez vos questions inutiles ! Je vous connais, j’ai lu l’avenir, je sais que vous avez donné votre cheval pour entrer ici. Vos questions je les ai lues et j’ai tout préparé afin d’y répondre. Il n’y a qu’un seul moyen et je vais vous y aidez.

Le sorcier prit un bâton décoré d’os et de runes. Faisant danser sa tête de gauche à droite, il observait la progéniture de Kjarl qui recula devant son impressionnante présence. Il frappa le sol de son bâton, ce qui en fit tinter les charmes et les osselets. Tout en soulevant son bâton au dessus de lui, il proféra un grognement guttural en direction de la fenêtre et du ciel. Des éclairs dansèrent dans ses yeux alors que les cieux répondaient à son appel et que des échos se firent entendre par delà la tour. Les ténèbres se rassemblèrent, formant un voile qui semblait attiré les ombres, puis des volutes d’obscurité se répandirent autour de Digdragon qui semblaient apsiré l’énergie vitale de celui-ci et éteignant peu à peu les chandelles.

Dans la pénombre le sorcier parla, sa voix, résonnant comme si de sa gorge sortaient les paroles d’une douzaine de personnes. Comme une masse énorme qu’il était, Digdragon tomba devant le sorcier.

Plusieurs heures plus tard, Digdragon se réveilla dans la forêt de Sarosa, il ne savait pas comment il avait fait mais il se dit que ce sorcier devait être très puissant, assez pour le ramenez sur Vesperae et assez aussi pour lui révélé comment ce servir de ces transformations. De manière naturelle, le générale se transforma en corbeau borgne, au plumage noir de jais et il s’envola en direction de la grotte.

‘ De la fumée ? Un ciel noir et une arène ? Où suis-je ?’

??? : Tu es dans un monde où je peux te combattre.

‘Comment ? Qui es tu ? Comment oses tu me défié ?’

??? : Je suis toi et tu es moi mais maintenant je ne veux plus de toi. Tu as tué assez d’innocents, tu as tué le maître qui était bon avec moi !

‘Toi ?! Non comment as-tu pût survivre ? Démonio t’as détruit !!’

Soudainement je sentis un coup de poing au visage et je tomba sur le sol de l’arène et un visage apparut, c’était moi ! Mais une dizaines d’années plutôt, le visage rasé, les cheveux déjà longs mais noir et avec seulement quelques cicatrices, un Digdragon comme il l’avait été avant de s’échappé de sa cage au manoir.

Jeune Dig : Assez de morts maintenant je reprends ma vie et mon corps !!

Mon double d’avant se jeta sur moi et me rua de coups avant de m’étranglé mais je riposta. La lutte sembla duré une éternité, j’étais exténué quand soudainement le jour revint. J’étais à nouveau dans la montagne où depuis des jours je cherchais un dragon qui protégait un trésor, trésor que des nains auraient amassé et que le dragon leurs aurait dérobés.

« Il revient et à chaque rencontres il est de plus en plus fort, je ne tiendrais bientôt plus »